J’ai 22 ans et j’ai découvert la dépersonnalisation/déréalisation un peu par hasard… enfin non, quand ça m’est tombé dessus, j’ai cru que je devenais fou. Tout paraissait irréel, comme si j’étais coincé dans un rêve ou un film. Je me sentais complètement déconnecté de moi-même, détaché de mon corps, comme spectateur de ma vie. Au début, c’était super flippant, je n’arrêtais pas de chercher ce que j’avais. Et puis j’ai compris que c’était lié à l’anxiété. Petit à petit, j’ai trouvé des choses qui m’aident : faire du sport, aller courir, la boxe, marcher en nature… ça m’a reconnecté à la réalité. Aujourd’hui je gère beaucoup mieux. Si tu passes par là, sache que t’es pas seul, et qu’on peut vraiment sortir de la DP/DR.
Quand la DP/DR est arrivée dans ma vie, j’ai eu l’impression de ne plus rien reconnaître. J’avais l’impression de flotter hors de moi, comme si j’étais spectatrice de ma propre vie. Chaque journée était une lutte, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait et j’avais peur que ça dure pour toujours.
Avec le temps, j’ai appris à ne plus me battre contre ces sensations mais à les accueillir avec douceur. J’ai consulté, j’ai parlé, j’ai compris que je n’étais pas seule. Petit à petit, mon corps et mon esprit ont commencé à se détendre. Les moments réels revenaient, d’abord quelques minutes, puis de plus en plus longtemps.
Aujourd’hui, je vais beaucoup mieux. Il m’arrive encore d’avoir de petites vagues de déréalisation, mais elles ne m’effraient plus. Je sais qu’elles passent. J’ai retrouvé le goût des choses simples : rire avec mes proches, sentir le soleil sur ma peau, profiter d’un repas. Tout ce que je croyais perdu est revenu, parfois encore plus fort qu’avant.
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2 Témoignages
J’ai 22 ans et j’ai découvert la dépersonnalisation/déréalisation un peu par hasard… enfin non, quand ça m’est tombé dessus, j’ai cru que je devenais fou. Tout paraissait irréel, comme si j’étais coincé dans un rêve ou un film. Je me sentais complètement déconnecté de moi-même, détaché de mon corps, comme spectateur de ma vie. Au début, c’était super flippant, je n’arrêtais pas de chercher ce que j’avais. Et puis j’ai compris que c’était lié à l’anxiété. Petit à petit, j’ai trouvé des choses qui m’aident : faire du sport, aller courir, la boxe, marcher en nature… ça m’a reconnecté à la réalité. Aujourd’hui je gère beaucoup mieux. Si tu passes par là, sache que t’es pas seul, et qu’on peut vraiment sortir de la DP/DR.
Quand la DP/DR est arrivée dans ma vie, j’ai eu l’impression de ne plus rien reconnaître. J’avais l’impression de flotter hors de moi, comme si j’étais spectatrice de ma propre vie. Chaque journée était une lutte, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait et j’avais peur que ça dure pour toujours.
Avec le temps, j’ai appris à ne plus me battre contre ces sensations mais à les accueillir avec douceur. J’ai consulté, j’ai parlé, j’ai compris que je n’étais pas seule. Petit à petit, mon corps et mon esprit ont commencé à se détendre. Les moments réels revenaient, d’abord quelques minutes, puis de plus en plus longtemps.
Aujourd’hui, je vais beaucoup mieux. Il m’arrive encore d’avoir de petites vagues de déréalisation, mais elles ne m’effraient plus. Je sais qu’elles passent. J’ai retrouvé le goût des choses simples : rire avec mes proches, sentir le soleil sur ma peau, profiter d’un repas. Tout ce que je croyais perdu est revenu, parfois encore plus fort qu’avant.